vendredi 13 mars 2020

Voyage,voyage

Histoire de vols

Préambule.

Gerald mon partenaire m’envoie un sms pendant mon déplacement routier entre  La Londe-Paris : « j’ai oublié mon duvet ». J’ai envie de dire, ça peut servir quand on part faire du camping dans le bush 😂. J’en ai un dans la voiture mais il fait grosse modo un mètre cube et la fermeture éclair ne fonctionne plus.... Il préfère en acheter un en Afrique du Sud. Je le comprends. 
Ah enfin, nous arrivons à Paris avec ma femme. Voyage de 7h45 nickel. Pas dépassé le 130,5 km/h.
Heu... chérie,  je crois que j’ai oublié mon blouson à la maison. Arg quelle buse. 
Suis-je le partenaire de mon partenaire ? Le boulet du boulet ? Réponse affirmative. La dream team est en place.  

Allô fils, t’aurais pas un blouson à prêter à ton vieux père ? Yes, il a ça en stock. Bon, on repart faire un peu de bagnole. 35’ de traversée de Paris pour rejoindre l’appartement du fiston à Courbevoie. Invitation à dîner en plus, ça ne se refuse pas. Il a aussi un petit duvet. Stikkkke. Jean de la chance 🍀

On retrouvera même une place de parking au retour devant l’immeuble où nous logeons. Vivement demain. 

Horaire de l’avion : 7h05.
Réveil à 3h45 ça pique un peu. Nous sommes (husband and wife) dans le studio de ma fille (en fait celui de ses parents 🤔) dans le 14e arrondissement et ma chère et tendre va me driver jusqu’à Roissy. On en profite pour prendre mon partner Gerald qui a passé la nuit à proximité de l’aéroport.

Enregistrement, douane, embarquement, tout se passe comme dans un rêve lol. On ne peut pas dire qu’il y a foule. Pas bc de masques à l’horizon et pas bc de gens non plus. 

Bon, il y a quand même eu un petit moment de flottement pour le bagage vélo de Gerald. 35 kg au lieu de 23 (franchise bagage). Heu, ça craint. 

Le mec de l’enregistrement nous dit qu’il va y avoir un supplément... Heureusement, ma valise vélo ne pèse que 17 kg (je n’en reviens pas d’ailleurs). Je propose donc un transfert de masse d’un sac à l’autre. Le guichetier accepte. On charge comme une mule mon sac (qui a déjà été pesé). Vélo de Gerald à 20 kg🤣. Ça passe crème. 

Première et unique escale à Vienne. Nous volons sur Austrian Airline... pour un trajet de 2h. Je ne vois rien. Un comas plus ou moins profond m’a empêché de profiter de la viennoiserie offerte et des paysages. Ça doit être la première fois de ma vie que je rate une collation dans un avion. Pas beau de vieillir. 

Même en Autriche, on a du soleil
Nous voyageons légers. Nos sacs à dos sont aussi en soute (8-10 kg en moins à se trimballer à l’escale).
Arrivés à 9h05, nous repartons rapidement pour le 2e vol. Le temps d’aller à la « Gate 60 », d’acheter des coussins de cou... de faire pipi, de  surfer sur le web et hop on embarque. 
Bizarre, je ne vois pas bc de monde au dernier contrôle pour monter dans l’avion.
Et en effet, il n’y a personne mais alors personne dans l’avion. 

Y a quelqu.un ?
Lors de l’enregistrement en ligne, j’ai choisi 2 places à l’arrière de l’avion (on peut choisir sa place c’est pas Ryan !) mais en fait c’est des banquettes que j’aurais dû choisir. Sur 150 places de notre « compartiment », il n’y a qu’une petite 20e de personnes 😱. Soyons clair, l’avion est vide. 


J’en profite donc pour me cogner une rangée de 4, m’allonger et dormir un peu. Y avait longtemps. Je rate encore une collation. Fais chier. J’irais la réclamer cette fois. J’ai la dalle ! Hôtesses super sympas et pas vraiment débordées. Ça sent le chômage technique. 


On relève les accoudoirs et hop un lit 😂


Petite aparté, Austrian airline fait partie du groupe Lufthansa et ça se voit. La qualité est là. C’est pas de la compagnie arabe mais c’est bien (L’arabe est hors classe, trust me). Le prix 🏷, hum hum, coup de fusil. 445 euros AR avec un temp de transport optimisé. Vélos gratos. Du jamais vu dans l’histoire de moi 🤣. On aurait pu partir sur Air France en direct à 1100e + 200e de vélo, j’ai hésité d’ailleurs 🤣🤣🤣. Mais non en fait. 

Bref, mais pas si bref, le voyage est passé relativement rapidement et surtout très confortablement ! Important quand on est vieux. On aime son petit confort. 

Au final, 2 repas, 2 films (Gerald en a bouffé 5... de films), une grosse sieste, un peu d’écriture, de la SBK dans les oreilles, des AR dans les allées pour faire circuler le sang 🧐 et basta. J’avais envie de danser dans les allées mais j’ai pas osé 😜. Elle est pas belle la vie ? 

Le taxi nous attend à l’aéroport et en avant Guingamp pour le backpacker au pied de Table Mountain. Accueil nickel, chambre sympa, il est l’heure de se coucher. On n’ a rien vu il faisait nuit à notre arrivée mais demain on va tâter du chemin. Stay tuned

mardi 10 mars 2020

Andalcia Bike Race Stage 6


La der de der. 58 bornes quand même à se farcir. Et 2000 de dénivelé. Que reste-t-il dans le tank ?

Nous partons du centre ville comme hier sur de grandes artères. Ça part vite. Tout le monde semble à bloc ou alors y a que moi en surchauffe... je transpire comme un phoque (ça transpire un phoque ?), alors que j’avais limite froid en attendant le départ.

On roule, on roule et que ça relance à chaque virage. Et ho l'asticot, y a encore 50 bornes...

Première bosse, je m’accroche comme un morbac à qui je peux. La première heure sera super hard. Je ne veux pas lâcher le morceau mais c’est dur.

Heureusement, des terrains plus favorables apparaissent. De la montée bien raide, des singles, de belles descentes. Je pousse mais c’est pas comme hier. Je donne ce qui reste dans la machina mais c'est toujours (et encore) dur.

Bizarrement, je double des mecs que je n’ai jamais vu mais il y en a pourtant beaucoup devant.

L’ambiance est vraiment sympa à certains endroits et comme c’est dimanche, il y a du monde sur la parcours. Top ambiance pour tous les coureurs.

Nous refaisons en sens inverse certaines descentes de la veille. Mentalement, c’est pas le plus facile. Believe me.

Je roule comme un dingo sur la petite 10e de km qui restent (plutôt en descente). Je m’accroche, je m’accroche et roule sans demander de l’aide derrière. Dernier km, putain faut tout donner, un chacal qui me suivait depuis des plombes me pose une mine. Merci. Un deuxième me passe aussi. Merde alors. Pour la 1ere fois de ma vie je vais tenter le sprint. J’ai encore des jambes et je le croque. Mdr 😜.

223e de l’étape, 203 du général comme hier et 17ème de mon AG. Je gagne une place...
Content le gars. Content de cette semaine de débauche énergétique, de cascades à gogo

12500m de dénivelé
350km
Ça c’est fait.
Quelle belle épreuve de mtb, vtt, btt...
Météo au top, 5 jours de plein soleil, 1 jour couvert.
Tenue d’été tous les jours avec manchettes (parfois) parce que je suis frileux.
Niveau des coureurs incroyable
Parcours géniaux
J´ai pris du plaisir au fur et à mesure de la semaine. Toujours dur de se rentrer dedans le 1er jour.
Beaucoup trop de gamelles. De la 1ère à la 5e étape, je suis tombé. C’est beaucoup beaucoup trop. J’ai fait des erreurs en voulant doubler, en ayant une mauvaise pression dans les pneus, en n’étant pas assez concentré, en étant fatigué... Bref, à ne pas refaire.

J’ai notamment pris 2 très belles gamelles, une lors du prologue et une à Mach2 lors de l’étape 4. Ça aurait pu mal finir. Résultat de cette semaine de cascades : J’ai des plaies partout 🤣 (don’t touch me, i’m fragile) au jambes, cuisses, avant-bras, épaules, dos, buste, visage... sans parler d’hématomes plus ou moins importants.
Au final, l’homme et le vélo s’en tirent plutôt bien. Call me El Cascador.

Une course à refaire avec des potes prêts à en ch... un peu dans ce si beau pays andalou.

Merci à ma femme de m'avoir accompagné dans cette aventure touristico-sportive. On connait maintenant Grenade, Jaen, Andajur, Priego de Cordoba, Cordoba et Malaga comme notre poche. Et je peux vous dire qu’il y a pire.

I’ll be back aurait dit Arnold, i’ll be back... my friends. 




lundi 9 mars 2020

Andalucia Bike Race Stage 5






On change encore d’endroit pour démarrer de Cordoba. Lieu final de la course (demain). Queen stage comme on dit dans les milieux autorisés. Étape la plus longue mais à priori pas la plus dure. Ça sera le cas. 84km et 2000 de dénivelé. Sur le papier, ça parait long quand même...

Le départ se fait sur une grande artère du centre ville. mamamia j'aime pas ça. On part encore à bloc. On finit par s'habituer à la douleur du départ, c’est dans la tête en fait mdr.

Ma meilleure étape de la semaine. Push push push telle fut ma devise. Parcours super agréable sans truc impossible à grimper. Ça change. J’ai vraiment l’impression d’avoir poussé toute la journée pour récupérer un groupe ou tenter de suivre un guerrier.  Belles descentes as usual. Je me suis mis une bonne dose aujourd’hui. Sensations au top, va comprendre Charles. Une seule (ou deux ?) petite gamelle pour enlever les croutes et se faire un bel hématome...

Je suis content de mes petites cuisses. Pourvu que ça dure. Avec les jours de courses qui s'enchainent, le cœur a généralement du mal à prendre des tours et la fatigue musculaire engendre une perte de puissance. Au niveau de mes repères "physiologiques" cependant, tous les paramètres sont bien orientés... Le cœur monte encore et la puissance se maintient. Je limite donc la casse. Bueno

188e de l’étape (mon meilleur résultat de la semaine), 203e au général et 18e AG. Je continue ma petite progression.


samedi 7 mars 2020

Andalucia Bike Race Stage 4



On change encore d’endroit. Départ de Priego de Cordoba à une 100e de km du départ précédent. 58 km et plus de 2000 de déniv. Easyyyyy.

Question organisation, l'Andalucia Bike Race nécessite une certaine préparation. Trouver les infos, le trajet, le départ, l'arrivée, où déposer ses affaires, le parking, les chiottes (très important les chiottes !). Pour un mec super organisé comme moi c'est facile...

Top départ, hue cheval. Je ne sais pas pourquoi mais d’entrée je préfère cette étape. Ça monte de suite et les gars ont l’air plus calme que d’habitude. 4e jour de course et les organismes commencent à marquer le pas. Ouf (pour moi).

Je vais passer ma journée à bien pousser sur les pédales. J’ai la banane et je passe mon temps à doubler, à m’accrocher à des gars devant (les filles sont rares)... ça fait plaisir.

Mais les plaisirs en ce bas monde ont toujours une fin. Je me prends une boite mais une boite XXL. Tout seul sur un single sans piège particulier, je pousse fort pour rattraper un mec devant mais ma roue avant se dérobe et je m'étale. Epaule, tête , jambes, cuisses, tout y passe. Rayé le gars. Choc suffisamment violent pour que mon visage touche le sol et que mon casque soit enfoncé... Je m'en sors bien. 3 gars s'arrête pour m'aider à repartir. Bueno les gars j'ai rien... mais je saigne de partout lol.

C'est la 2e grosse gamelle de la semaine. Je suis chanceux sur ces épisodes. Pourvu que ça dure.

Je gagne des places. 219 au général et 19 AG.

vendredi 6 mars 2020

Andalucia Bike Race Stage 3


3e jour de course.
On change de lieu. Direction Andajur pour la journée.

En regardant le relief, je pensais faire plus ou moins 20km de plat. Quel erreur Boris, on s’est tapé 20 bornes de up and down. De grands chemins parsemés de bosses plus ou moins raides. Je prends cher. C’est ultra ultra fatiguant pour moi. Ces bosses se passent en force et ce n’est pas vraiment le point fort de jéjé l’arbalète. En plus du départ où l'on roule à donf, caliente...

Je ne sais plus où j’habite au bout de ces 20 bornes.

J’avoue que je ne comprends pas comment la plupart des coureurs autour de moi fonctionnent. On se tape des 10e et 10e de bosses d’une raideur incroyable pour certaines, on pousse le vélo à pied aussi... et tu vois toujours des mecs qui remettent une couche en haut de la bosse, qui vont courir dans les murs... I don’t understand. Les mecs se mettent dans le rouge voire le violet une fois deux fois et puis merde tu finis par le payer non ?.

Chacun sa manière de courir mais j'avoue que je n'ai pas les qualités pour faire ça et je suis persuadé que cette débauche d'énergie se paie à un moment ou à un autre. On comptera les moutons à la fin de la semaine..

Au final, l'étape la plus dure à négocier pour moi

Je suis 226e au général et 20e de ma caté. Journée bof.


mercredi 4 mars 2020

Andalucia Bike Race Stage 2


Aujourd’hui, c’est départ en groupe mais chacun dans son sas (sa box) selon le chrono de la veille.

Je suis dans la box 4. Ça fait loin dis donc mais bon la box 1, ce sont les pros classés UCI, box 2, idem pour les filles. Box 3, les amateurs costauds. Je suis moyen costaud...

Nous partons sous le soleil au pied de la cathédrale de Jaèn. Ça descend pendant des kms. La vigilance est de mise. Aucune chute à déclarer dans le peloton. Mais c’est chaud quand même 800 mecs qui roulent sur le même chemin.

Première bosse, ça roule très fort. Accroche toi petit ça va se calmer. Comme d’hab, je perds pas mal de places pendant la 1ere heure et puis je grignote.

L'étape est relativement longue (71km) avec de la dénivelé (2300m) mais ce qui rendra la tache ardue c'est la présence de murs. Des murs de plus de 20% comme s'il en pleuvait. Obligé de sortir les watts sinon tu passes pas. Fatiguant, usant, éreintant... cette première grosse étape. D'autant plus que la descente du matin, on va se la refaire en rentrant à la casa. 2km de bosse pour finir, c'est pas humain !

On fait du vrai Vtt. Les montées sont parfois terribles comme indiqués mais les descentes sont super variées et "jouables".


On se régale. Heu, je me régale moyen en fait tellement cette étape est difficile. Pour apprécier le paysage, on attendra un peu.

Au général je gagne pas mal de places 221e et 21 dans mon groupe d'âge.

mardi 3 mars 2020

Andalucia Bike Race Stage 1


C’est parti pour 6 jours de travail en Andalousie. 6 jours à gravir et descendre des 100e de bosses sur son VTT en tentant d’aller le plus vite possible. C'est fun non ?

L’étape 1 est en fait une étape plus courte que les autres (23km environ et 1000m de dénivelé 😱) qui permet d’établir une grille de départ pour les étapes suivantes.

Avec le boulot (j'en vois certains rigoler... pas beau), le voyage et les visites andalouses, j'ai passé 5 jours sans faire de vélo, je suis frais comme un gardon. Enfin presque puisque l’on a (ma femme et moi) quand même visité Grenade pendant 2 jours à marcher des heures et des heures. Pour notre plus grand bonheur cependant.

D day, je pars dans les premiers. Les vieux d’abord ! Une heure de grimpette quasi non stop sur un parcours de montagne. Sympa pour les grosses cuisses. Arrivé au sommet, les choses vont sérieusement se compliquer.

Je revendique haut et fort ma capacité à descendre « vite » sur des parcours difficiles, lents, techniques, cassants, caliente... mais j’ai plus de mal sur de grandes descentes rapides. Il se trouve qu’ici ça va assez vite.

Je me prends une maxi gamelle dans un virage et fait un roulé-boulé latéral qui mériterait en judo un ipon ! Dossard déchiré, dos touché, poignée de frein qui a bougé. Rien de grave mais je suis trop ailleurs pour penser à dégonfler mes pneus qui n’accrochent pas du tout.

Je repars et paf une 2e gamelle avec dérobade de la roue avant dans un sous-bois. Pas grave mais je ne suis plus du tout dans la course. Game over. Je n’avais pas reconnu le parcours non plus... grossière erreur Boris. Je ne le ferais plus...

Première journée un peu dure pour le moral. Je sens que mes jambes ont bien poussé dans la montée mais...

Résultat « décevant » 264e et 25e de mon groupe d'âge... Il y a quand même un paquet de machines sur cette course.

J’attends avec impatience la vraie première étape.

lundi 10 juin 2019

A quoi reconnait-on un con ?


Les cons ça osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (M.Audiard).
Je rajouterai, il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis...

Les cons, ça ose tout....

Du coup, suis-je un con ?
Petit 1 :  j'ose pas mal quand même.
Petit 2 :  d'un autre côté je change pas mal d'avis aussi.

Limite Hegelien cette pensée, non ?
Non, t'es con. Point barre.

Bref, je reprends du service pour vous conter mes petites histoires de sportif amateur (NDLR : il n'est plus triathlète😂). mon blog beauté quoi. Plus de 150 articles pour vous mesdames.

L'année 2019/2020 sera compétitive ou ne sera pas ! Le virus m'a rattrapé. Fuck !

Cape Epic, épreuve sportive ultime (pour moi), m'a encore fait de l’œil. j'ai pas résisté. Last but not least, mon partner number one a dit "oui". Gerald et moi sommes pacsés pour le meilleur et pour le pire. On ne prendra que le meilleur, of course.

Alors, je me ferais un plaisir de vous conter mes aventures africaines chaque soir sous ma petite tente, perclus de crampes, déshydraté, mal aux cheveux (cheveux, quels cheveux ?), mal installé, mal de partout... Mais heureux, oui heureux de partager ces moments de "bonheur" avec vous. Heureux de recevoir vos encouragements, vos "like" et vos commentaires bienveillants.

En attendant cette petite échéance, je vais me replonger dans le célèbre ouvrage Le Sport pour les Nuls d'Alain Chabat.

On va donc limiter le fromage, les sorties tardives, les galas de danse... et la clope😌😌😌. I'm joking as usual. Je vais juste limiter le fromage. faut pas déconner quand même.

En espérant revivre ce pure moment de bonheur (le couz et moi à l'arrivée)

Stay Tuned






dimanche 1 octobre 2017

C'est la faim

C'est la fin... des haricots mes amis! Old school, je sais, mais au jour d'aujourd'hui, je suis plus prêt de la fin que du début, des vieux que des djeuns, du minitel que d'Instagram.

Half Ironman ou plutôt half century, j'ai décidé d'un commun accord avec moi-même d'arrêter. 
- Mais quoi chef, t'arrêtes quoi ????
Deux points ouvrez les guillemets : "le sport de compétition".

Alors adieu "triathlète voyageur", adieu vététiste, adieu entraînement et vive la quille. Mon jubilé aura lieu au stade Jean Boin  avec la venue exceptionnelle de Marius Trésor et de Mark Allen. Venez nombreux kon fête ça à la kro et à la mergez. C'est comme ça ki font mes potes footeux. Génial.

Ce journal touche donc à sa fin. Sec de chez sec, je n'ai plus d'encre pour vous conter mes petites histoires de sportif amateur. Même si, je l'avoue, j'aurais bien eu 2-3 trucs à vous raconter. Notamment les Alpes du Sud cet été en mode compétition où je me suis tapé un peu dans le caisson (avec côte fissurée et poignet en vrac lors de la dernière étape  de mon "jubilé" lol).

Reste donc "que" la version "voyageur" de ce blog. 3 continents en qlq mois, oui oui, la carte bleue a bien chauffé. On n'a qu'une vie et le sport m'en a bouffé une bonne partie. Alors place à la retraite anticipée : beach boy le retour.

Have fun and keep in touch old fellow



samedi 30 septembre 2017

Un blog sports et voyages

Je déclare ouvert mon blog "spécial" triathlon-sports-voyage. 
Une manière comme une autre de partager mes aventures qui, je l'espère seront intéressantes, amusantes et dépaysantes...
Bonne lecture