samedi 31 mai 2014

X terra Spain - Mai 2014

Nous sommes arrivés de bonne heure sur le lieu de la course. Le parc T2 est presque prêt. Ça sent bon la course. Je discute avec un Français qui m'annonce que la natation risque d'être annulée. Sale nouvelle, je n'aime pas du tout le duathlon et je n'ai pas fait 1200 bornes pour ça! Crotte alors (expression old school again).

N°  gagnant le 231...

Mais ce n'est rien comparé à Yannick, un des meilleurs nageurs sur Xtri et Nath qui voit lui aussi un de ses points forts disparaitre.

La natation est annulée. Trop de courant. J'en rigole encore. La course débute donc par de la course à pied.

Départ de la plage pour la photo avec 20' de retard... Les pros démarrent une minute avant nous. Bang, c'est parti pour pour 1,4 km de montée, 400m de descente et retour à l'identique. On se croise donc.

Ché le déparch tout en bache...


Patrick et Nath envoient la sauce. Je suis à mon humble rythme et Yannick ferme la marche du groupe des Big Four. 15-16' d'effort et on enchaine en vtt en remontant le même chemin. Les 1ers ne sont pas loin. Enfin bc moins loin qu'après une natation.

20 claviculas nous voilà. Je m'engage direct dans le truc. Le mec de devant part en vrille mais a du mal à me laisser passer. Je passe et continue la descente on the bike. Nath et Pat sont 30m plus bas freinés par des marcheurs.

Je lui aurais bien mis un coup de boule au mec derrière...


A peine 1,5 km et on se cogne les pires bosses du parcours et celle-là elle est belle. Je vois tous les vététistes à pied dans la montée. Quand on connait le niveau des gus, on se dit ça arrache. Hier on est passé avec Yannick, pas aujourd'hui.

En haut de la bosse, les 2 potos ont disparu, j'embraye à mon tour. La suite du parcours n'est pas intéressante. Des paquets se forment, ça roule, ça pète... Je me mets la misère dans un champs d'artichauds (mdr) à plus de 40 pour rattraper un coureur. Bien m'en a pris, le gars roule fort et à 2 c'est top.

Dernière difficulté avant le portage, je sens mes forces diminuer, vite un gel. Les gars me lâchent un peu dans cette petite bosse. Heureusement la descente me permet de retrouver des sensations, ouf. Dernière descente technique, je largue tous mes collègues et rattrape tout ce qui bouge devant. Ça a du bon le TS en 29 pouces.

Portage au niveau de la 20 claviculas, arrivé en haut je demande aux filles où sont les deux guignols, persuadé qu'ils sont devant. Ben non, je suis le 1er! Nat et Pat sont derrière. Ai-je fait une erreur, ont-ils fait une erreur ? Je ne sais qu'une chose : avec le mec avec qui je roulais nous avons fait demi tour en voyant un peloton s'engager sur une autre piste... Yannick a vraisemblablement  emprunté le même chemin que moi puisque lui aussi se retrouve devant Pat-Nat.

Je porte pas, je pousse!


Bref, la course continue et emprunte une draille de chèvre à flanc de colline. Et là c'est le drame, oui mesdames et messieurs le drame. On va se cogner le parcours d'un trail avec un vélo sur le dos.

Mauvais aiguillage... Je ne le sais pas encore et poursuit avec qlq autres le délire. Il n'y a pas d'autres mots. Un pro fait demi tour en disant que c'est pas le bon chemin. Il avait raison mais nous, on continue!  Imaginez un sentier étroit en bord de falaise, pleins de blocs de rochers à escalader en montant puis descendant. On y était.

Finalement, après presque 30', nous retombons sur la fin du "vrai" parcours et accédons au parc T2. Et quelle surprise de voir un peloton de plus de 20 vélos qui nous coupent la route. Eux ont shunté le parcours (sans prendre le bon d'ailleurs) et se retrouvent en même temps que nous au parc. 

Je me suis dépouillé dans la pampa, j'ai les jambes en sang, des hématomes aux mollets (merci les pédales) et je vois des coureurs qui rentrent au parc avec moi. Je hurle (intérieurement) et râle (extérieurement) devant tant de merdier.

Pas grave,  je continue ma course. Rien à gagner, rien à perdre. On verra bien au final. Ça commence plutôt mal, je me vautre en sortant du parc. On se concentre mon garçon, il reste 10 km et il parait qu'ils ne sont pas simples.

Je prends un bon rythme, 2-3 gars me doublent mais calent rapidement. Je me sens bien, pas dans le rouge et les jambes sont "correctes". Il me manque peut-être un peu de confiance pour envoyer. J'ai pris cher une semaine avant à Saint Cassien.

Erbenova, première féminine me double sans m'enrhumer. C'est bon signe. Mueller, pro féminine me passe aussi mais je reste à son niveau.

Le parcours est top, dur, varié, à l'ombre, ça monte, ça descend... et je m'accroche comme un morpion à Mueller. Dans les descentes techniques, on déglingue tous les coureurs que l'on passe. Je n'ai plus mal aux cuisses. Dans le délire de cette course, je redouble Slack que j'avais déposé en vtt... et merda.

Au final, je fais une super super super deuxième course à pied avec Mueller. Grosse satisfaction personnelle. J'ai envoyé comme un âne en vtt et j'ai couru comme jamais. Quel plaisir.

Le classement final ne veut rien dire, c'est malheureusement une évidence. 17e au général, 2e de ma catégorie. J'ai qlq doutes sur la validité des résultats dans ma caté. Et mes recherches confirment mes doutes, le 1er (qui a du couper le vtt soit dit en passant) a 30 ans. Pour une catégorie de 45-49, ça le fait pas. Bull shit. Y sont trop forts ces Espagnols. Tout faux du début à la fin. Quand on sait l'énergie qu'il faut pour organiser une course, on a mal.

Mes 3 potos ont abandonné devant tant de merdier. J'avoue que je n'avais pas la même pression ni les mêmes objectifs. Ils voulaient le slot pour Hawaii et avec ce bazar ils n'ont pas voulu hypothéquer la suite de la saison. Résultat, y a que bibi qui a son slot et qui rate (encore) une vrai victoire en groupe d'age après une tricherie en Allemagne.

Va falloir que Xterra se ressaisisse parce que y en a marre de claquer de l'oseille pour des kermesses de village. On dépense un fric dingue pour se rendre sur ces courses et on n'est même pas sur de l'équité des résultats.

Et si le manager du World tour veut bien poser sa bière deux minutes et mettre les mains dans le camboui, ben ça fera pas de mal. On a toujours l'impression qu'il est là en touriste et franchement ça énerve.

Je file en Sardaigne pour les Championnats d'Europe de Cross tri. Tout est carré là-bas.











jeudi 29 mai 2014

pré course X terra Spain - Mai 2014

Encore une course située à des kms de la maison.... mais quand c'est bon, c'est bon!

Ce X terra se déroule au Sud de l'Espagne à côté de Cartagène plus précisément au Manga Club ou Managa cloub pour faire plus local.

Notre terrain de jeu, départ en bas de la piste...





Je ne sais plus par quel hasard je me suis inscrit sur cette course mais j'y suis. En tout état de cause, je n'y aurais jamais mis les pieds sans Nathanael et (Santa) Ana Maria qui ont de la famille sur place.

Nath m'a proposé de faire le voyage avec sa femme et sa cousine à bord du vaisseau amiral BMW X5. Je ne pouvais pas refuser. 

1200 km en voiture pour une course, une paille pour le triathlète voyageur que je suis. Un petit stop à Pertuis dans le Vaucluse et venga venga. C'est passé tout seul ou presque.

L'appartement de la Grand-mère nous attend pour notre première nuit espagnole. A la bande de 4 s'ajoute dès de lendemain, deux autres triathlètes : Yannick et Patrick (alias le Colombien) d'Alsace... 

Nous sommes tous invités à déjeuner dans la super maison de campagne familiale. L'accueil est total dans ce petit paradis avec piscine et jardin d'Eden (pamplemousses, oranges, citrons, olives, figues...). Une paella cuite au feu de bois nous attend. Merci mille fois Maria et Pepito.

Paella mama

Que faire après ce repas de monstre ? Aller reconnaitre le parcours (45' de voiture) ou rouler dans le coin ? Deux sont chauds pour la reco, deux préfèrent rester à proximité. On se sépare et avec Yannick, on file vers le lieu de départ.

Première impression sur place : pas un panneau de signalisation X-terra, y sont à la bourre ou quoi ? On réussit quand même à trouver le lieu grâce à Monsieur I-phone-GPS-Yannick. Nous rencontrons des Français qui nous racontent un peu le truc. Les Espagnols sont bien à la bourre côté organisation.

Le seul.... ou presque

Bref, on n'est pas là pour cueillir des marguerites mais pour tourner les jambes en vtt. Alors allons-y. Mais situons quand même l'action. Nous sommes quasi en haut d'une falaise, exactement au dessus du (futur) parc à vélo et au départ de la descente la bien nommée : veinte claviculas... dont une vidéo a circulé sur le Net.

Le parc en bas, la 20 claviculas à gauche
Là, je rigole (intérieurement), un english habillé Scott de la tête au pied comme un pro essaie désespérément de descendre  la première petite difficulté. Gamelle, re gamelle... le pauvre.

On se prépare rapidos et je descends le premier cette 20 claviculas. Je sers un peu les fesses, on roule sur une sorte d'ardoise qui glisse au freinage. Au final je descends presque tout on the bike. Yannick fait de même avec un zeste de prudence en plus. On se dit que demain ça risque de bouchonner et que tout le monde va descendre à pied.

Le début de la 20 claviculas, même pas peur avec Yannick et Nath

Après ce hors d'oeuvre, il faut se taper une grosse montée de 700m technique et raide. Yannick passe, je cale un peu.  C'est dur et je ne veux pas finir tout rouge...

Pis après, ben que du pas super. Qlq drailles sympas et du plat montant ou descendant. Vive les grosses cuisses et le braquet. Heureusement, la route s'élève sur le retour et la 20 claviculas termine en portage la dernière difficulté.

On arrête là notre reco tout en sachant qu'il reste qlq kms avant le 2e parc vélo. Nous verrons cela demain.

Le site est quand même magnifique avec des falaises, des petites plages et zéro construction en bord de mer. C'est suffisamment rare en Espagne pour être signalé.

Retour à la casa dans la famille d'Ana. Nous sommes encore une fois reçu comme des Princes avec un énorme bbc. Ils savent recevoir...

La French Team de D à G : Nath, Pat, Yannick et ouam

Il est minuit, nous sortons de table et il est l'heure d'aller se coucher avant la grande explication du lendemain.







lundi 19 mai 2014

Trivert du lac Saint Cassien - Mai 2014

Je dis tout, je me livre, je déballe, je déverse, nu, tel un DSK dans un Sofitel. Bref encore un CR de course comme on aime.

Le Lac de Saint Cassien se situe entre le département du Var, où j'habite et le département des Alpes-maritimes alias le département du 3e âge. Une bonne heure de route et c'est réglé.


Décidé à arriver en avance pour rouler un peu avec mon vtt tout neuf (et pneus changés la veille...), je pars donc vers 9h (départ de la course à 12h30). Et là, le trou noir, mais quelle sortie (d'autoroute) dois-je prendre ? Ecran radar perturbé, GPS interne défaillant, je sors 35 km trop tôt... pour ensuite récupérer la bonne route. Pourtant j'y ai déjà été à Saint Cassien. Fatigué la gars. 

Il y a pire comme endroit pour un triathlon
Sur place, je rencontre Jonathan Ferrié, un client et Marine sa compagne. John, spécialiste du VTT et technicien hors pair me dispense qlq conseils sur le matos. J'en ai bien besoin. Il connait tout ou presque et c'est son métier! Moi prendre conseils, moi écouté. On est au moins d'accord sur une chose le TS c'est mieux que le semi-rigide même avec 1 kilo de plus. Il le prouve à chaque manche régionale, je tenterais, à mon humble niveau de le "prouver" aujourd'hui.

Existe-t-il une machine plus performante ?

La météo est au top avec un ciel bleu à déchirer et une température idéale. Allez hop un petit échauffement avec le nouveau matos. Je pensais faire une bonne partie du parcours vtt mais à la bourre le gars, je ne ferais que la première "grosse" difficulté.

Nous sommes 70-80 à prendre le départ de ce format cross tri (1,5-25-10). Il n'y a pas foule mais c'est le tarif sur ce genre d'épreuve. Non seulement c'est dur mais aussi particulièrement technique. Et les triathlètes "classiques" ne sont pas mais alors pas techniques pour deux sous (expression old school). Nous y reviendrons.

Attention au départ
Départ dans l'eau (c'est assez rare) pour nager 1500m autour de 4 bouées. Un tour et on sort. Je n'ai jamais, jamais, jamais nagé comme ce dimanche. Pas un coup, pas une gêne, pas un mec à côté, seul... Je trace droit. Cette fois-ci j'ai pris le compas de relèvement et je ne ferais pas un mètre de trop. Sauf peut-être dans la dernière ligne droite de 700m où j'ai un peu bu.

J'ai fait le trou (dans la tête...)
Je sors 4e. J'entends déjà les ricanements. Pas tord, y a que des enclumes. Même le vainqueur (Dodet) est à une poignée de secondes devant alors que Thierry Pelet est à une poignée de secondes derrière. C'est toujours bon pour le moral de savoir qu'une fusée est (encore) derrière. 

Le chauve dans le parc avec le 1er!


Le début du parcours est en mono trace, je suis 4e, le 2e est là, on peut presque le toucher et le 3e est avec moi. Cool. Et rapidos la première bosse. Dodet (2e) conforte son avance et s'envole, je reste en 4 avec Thierry qui remonte et m'enrhume. Atchoum. J'ai vraiment mal aux jambes. Première descente, je rattrape sans trop de problème. Tant mieux.

En bas, nous sommes donc 3 à nous élancer sur qlq kilomètres de plats et relances. Je me cache, je drafte, je subis. A chaque sortie de virage, je négocie mal et  me tape dedans pour revenir. Thierry bosse beaucoup devant et le gars qui est avec nous un peu moins. 

Deuxième difficulté, Thierry reste derrière, le gars part devant et je me retrouve au milieu. Cette bosse est vraiment dure. En haut Thierry me passe et j'ai la sensation qu'une fois en haut il m'attend.

Première grosse descente technique. C'est chaud patate et j'en profite, sans le savoir par lâcher Thierry. En bas, y a bouchon, je retrouve les 3 premiers à pied et voit arriver le cador de la descente alias John. Bref 5 en bas.

Les 2 premiers sont des biques en descente, ça c'est sur et du coup on en profite pour les revoir... avant la prochaine bosse qui ne tarde pas à arriver.

Il est trop beau ce vélo
Longue bosse DFCI... au secours. John est passé 2 mais ne creuse pas l'écart, je roule avec un gars de Vitrolles et c'est bon pour le moral. En haut, je suis obligé de resserrer ma roue et perd mon complice pendant que Thierry, tel le renard des cimes, pointe le bout de son nez. 

Descente finale, en avant le 29er, ça envoie le pâté. Je rejoins et dépose le gars de Vitrolles pour arriver à l'aire de transition bien entamé. 

Arrivé au parc, je croise Dodet  qui sort en cap (futur vainqueur) et Thierry (futur 3e) qui lui, rentre... 

Le calvaire est arrivé... J'ai les cuisses qui ont pris chers sur le vélo. Thierry me passe comme un avion suivi par un gars qui ne va pas tarder à comprendre ce que c'est qu'un "vrai" coureur à pied. On va se taper une bosse longue mais longue... j'en profiterais pour marcher et cueillir des pâquerettes. 

Grande descente, un gars me dose, montée, plat, finish... Bref, je perds 3 places en cap avec un temps lamentable mais bon je me suis fait plaisir quand même... et je vois le travail qu'il me reste à faire. 

Autant de coureurs sur le podium que sur la course...

Au final, un cross triathlon assez roulant avec quand même qlq ascensions et descentes bien techniques, une cap qui envoie du bois et un lac à température idéale. Que du bon pour la suite.

Je finis 7e au scratch, 3e V, 1e V2... 1e des 47 ans, 1e du mois de mai et 1er du 9 mai! Ben quoi ? Faut bien des catégories.

Le vtt est au top, je n'ai pas encore fait tous les réglages de suspension, pression des pneus, réglages divers mais d'ores et déjà j'ai fait le bon choix. Quelle machine de dingue!

Premier cross tri de la série, la suite dès la semaine prochaine avec les aventures de Oui-Oui en Espagne avec un parcours plus exigeant qualificatif pour Hawaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Merci à Thierry pour son aide, toujours un modèle de rigueur et de talents pour moi
Merci à John pour ses conseils et photos.




jeudi 8 mai 2014

Triathlon Cap Sicié - Mai 2014

Après un triathlon "S" à Saint Trop, on monte en gamme avec un "M" aux Sablettes (commune de La Seyne). On double les distances avec 1,5 de natation, 40 de vélo et 10 à pied.

ça part de là et ça monte là-bas, tout au fond... awesome!

L'endroit est encore une fois magnifique avec une grande plage de sable blanc ouverte sur le large (spot de surf...). Mais en ce dimanche 4 mai, la mer est calme, le vent est faible et le ciel est désespérément bleu. Seul bémol, la température de l'eau a chuté. Mais bon, même si "l'échauffement" dans la Grande Bleue est difficile (j'ai les sinus qui refusent de rester plus de 3 secondes dans l'eau), une fois en course pas de p!

Départ à 9h pour un parcours en aile de papillon (je ne l'avais jamais entendu celle-là). On part à droite, on revient au point de départ sur la plage et on va chercher les dernières bouées sur la gauche. Je prends un super départ de m.... et passe ensuite mon temps à doubler des nageurs. Résultat pas très très bon... malgré une eau translucide et de bonnes sensations.

Le vélo est sympa avec une grosse bosse à monter deux fois (Notre Dame de Mai). Le début du parcours consiste à longer une partie de la presqu'île de Saint Mandrier  avant d'attaquer de la déniv. Seul hic, sur une partie du parcours, on roule en ville et il y a un peu de trafic. Je pose le vélo dans les 40e. RAS.

Le début de la montée, hue bourricot

La course à pied se fait principalement le long de la mer et dans des lotissements. Un petit passage sur la plage et qlq faux plats désagréables ponctuent la balade. Je perds un peu de temps sur les autres concurrents, comme d'hab mais au final, ben chacun est à sa place. Romain, membre de mon club en profite pour m'atomiser en cap en signant un des meilleurs temps à pied... pareil avec la première féminine (vainqueur du Nature Man 2013, je vais pas rougir)

Cherche oxygène

Résultat 41e au scratch et 2e V2. 
Dans notre club, un jeune finit 15e pour son premier "M".  Il a vraisemblablement qlq aptitudes pour le triple effort... Derrière on a un 18e, 32e, 41e, 54e, 70e, 81e, 92e, 109e, 121e, 138e, 153e, 165e, 167e, 183e, 205e, 224e, 243e, et certainement qlq'uns que j'ai oublié. Y en a même un qui s'est fait mettre en l'air par une moto arbitre. Tout rayé le gars avec un vélo en vrac. Dur. Et un autre qui a pris un carton rouge pour avoir coupé un virage...

On arrête là les triathlons sur route et on va tenter de se préparer pour trois superbes cross triathlons en France, en Espagne et en Sardaigne... Let's go dancing! 

Merci aux potes pour le soutien et les photos.