Bing, 5 jours dans la colline. Entraînement de cohésion sous la houlette d'un manager de team afin de potentialiser les forces et faiblesses de l'équipe pour dégager les éléments clés permettant la progression de la masse musculaire au dépend de la masse adipeuse sous le contrôle du cortex cérébral gauche.
Comme on peut le constater, 5 jours dans la colline fatiguent aussi les neurones...
Mensonge, oui j'avoue, il n'y a eu que 4 jours dans la colline avec un intermède route en bord de mer.
Mais revenons à notre propos, once upon a time :
Le massif des Maures est un petit joyau situé en bord de mer. On y trouve tous les terrains pour trainer ses pneus tout terrain. Vous voulez du hardcore, je vous donne du hardcore. Des montées asphyxiantes, des descentes de dingo debout sur les freins (ou par dessus le vélo, au choix), du roulant en bord de vignes, de la draille sympa, du pierrier qui tabasse... il y a presque tout. Manque juste le bain de boue. Et encore, un bon vignoble super arrosé, ça peut tâcher !
Seul petit souci, ça monte généralement assez fort. Le massif des Maures à proximité de La Londe est exigeant et le jour ou vous voulez rouler pépère, ben allez faire un tour en vélo de route ! Last but not least, les chemins secouent un peu le popotin et la matos. Pour toutes les choupettes "oh zut, il y a une rayure sur ma jante..." passez votre chemin.
Cette année, j'ai un peu abusé, notamment le premier jour, en empruntant plusieurs rampes à plus de 20%. Et là, si t'es pas au top, tu morfles un peu. Faire 1500m de déniv. ça passe crème "normalement" mais si tu pètes des bosses de fous plusieurs fois de suite, ça passe plus crème du tout.
Seul(s) moment(s) de bonheur dans cet univers de brutes: un petit bain dans la Grande Bleue, plein soleil, juste après l'effort (même pas mal !). Bain jusqu'à la taille, faut pas abuser des bonnes choses quand même.
A la TransMaurienne, dans les Alpes (pour les fatigués de la géographie), nous avions récupéré de nos efforts dans la rivière locale, ben ça piquait plus malgré le plein été...
Seul(s) moment(s) de bonheur dans cet univers de brutes: un petit bain dans la Grande Bleue, plein soleil, juste après l'effort (même pas mal !). Bain jusqu'à la taille, faut pas abuser des bonnes choses quand même.
A la TransMaurienne, dans les Alpes (pour les fatigués de la géographie), nous avions récupéré de nos efforts dans la rivière locale, ben ça piquait plus malgré le plein été...
Bref, un bon stage pour les stamina, la cohésion d'équipe (je déconne, je le déteste ce couz) et un "mauvais" stage pour le matos !
En plus, on fait mannequin |