Etape supposée la plus dure mais pas pour moi
5 grosse bosses à franchir sans craquer, au train
Avec les moyens du bord, bonne gestion
2 crevaisons et 15' de perdues
Pas grave, on a rattrapé tous les coureurs qui étaient avec nous
Commentaires à chaud postés sur mon logiciel d'entrainement...
5 grosse bosses à franchir sans craquer, au train
Avec les moyens du bord, bonne gestion
2 crevaisons et 15' de perdues
Pas grave, on a rattrapé tous les coureurs qui étaient avec nous
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Les chiffres :
Distance : 95 km
Durée :5h56
Dénivelé : 2500m
Difficulté : 5/5
Difficulté : 5/5
BPM moyen : 142
BPM max : 168
Les big Five |
La plus grosse étape de la semaine. On n'a pas été déçu. Au programme, 5 ascensions assez longues mais pas trop raides avec 2500 m de déniv. We did it (enfin surtout moi parce que le couz y force pas trop). Miracle, je suis encore en course
6h40, on se prépare |
Je me suis fais plaisir sur cette étape qui est vraiment magnifique. On débute en queue de peloton, prudemment comme d'hab. Nous rattrapons rapidement notre vague et commençons à rattraper des gars partis 5' avant (tiens c'est pas comme d'hab).
Minimum 50000 de matos sous vos yeux ! |
Malheureusement, j'ai la bonne idée de percer mon pneu au mauvais endroit. On va passer un bon bout de temps à réparer (les amateurs). On repart et je gère mon rythme pendant qu'Arthur se balade. Il ne verra même pas nos potes Québécois sur le bord de la route. Trop rapide.
L'étape est longue mais paradoxalement elle me paraitra beaucoup plus courte que les premières... Des sensations qui reviennent, aucune douleur et la vie devient tout de suite plus simple!
Va chercher bonheur |
On passera notre journée à doubler. C'est moralement plus supportable. Dernière grosse descente, on astique un peu et paf deuxième crevaison. On est en slip, plus de chambre (la mienne s'est percée avant utilisation). Heureusement, l'entre aide est là et un gars nous file du matos. Ouf. On répare fissa. Arthur remet le turbo sur le plat.
Faut toujours qu'il fasse l'intéressant |
Résultat satisfaisant même si le classement est pourri, on a perdu beaucoup de temps à réparer la première crevaison. Anecdotique dirons nous, l'important étant d'avoir survécu. One more in the bag !
Les étapes sont super longues mais la variété des parcours atténue cette sensation d'en avoir plein le cul. Sauf problème technique, on va aller au bout. La fatigue est là mais nettement plus supportable qu'après les 3 premières étapes. Les cuculs sont encore en état. Je pense être guéri pour la fin de Cape Epic. Les voyants sont presque au vert.
Step by step. Demain sera un autres jour mes enfants, Amen.
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