Jour 4 : Le temps est toujours de la partie, alors en avant Guingamp. Sortie vélo de 85 km au programme suivie d'une heure de cours à pied. Ça c'est le programme initial. Des événements dramatiques en décideront autrement (pas mal l'accroche littéraire). Je choisis le parcours LD d'Hyères avec deux belles bosses : Notre Dame des Anges (+700m) et le Babaou (+400m). C'est pas vraiment le parcours que l'on fait si l'on n'a pas les watts. Ben moi j'ai les watts, surtout dans mon ipod. En fait non, j'ai pas d'ipod et j'ai pas les watts. Pas grave, c'est un stage à la dure, 1350m de déniv. je vais te les bouffer en 2.2. Plutôt en 4.4 d'ailleurs. Première grosse difficulté, Notre Dame des Anges, facile, on y arrive après 10 bornes de faux plat avec vent dans le nez... j'adore. La grosse (bosse), je la monterai avec un développement de tétard. La route est longue, la pente est raide, la journée n'est pas finie et ce vent d'est me saoule. 35' pour basculer, c'est long. Et déjà la bosse suivante où je décide de mettre un développement un peu moins ridicule. C'est bientôt la fin, alors on se met un peu la mine. Content de la montée.
Descente du Babaou tranquillou, le vent est un peu capricieux et je m’accroche à mon guidon. Et là dans un virage, je croise Maya l'abeille. Celle-ci a la bonne idée de se bloquer dans mon casque. Que faire ? 1- retirer le casque rapidement ou 2- attendre que Maya se barre butiner. Je choisis l'attente. Tuuuuuut, mauvais choix, Maya me pique et j'entame la solution 2 : je retire le casque. Elle est toujours là, en mauvaise état, pleine de pollen. Quant à moi, j'ai beau être matinal, j'ai mal (au front). Faut savoir que ce n'est pas ma première rencontre du genre avec les insectes volants. La dernière fois, je suis tombé dans les pommes, affalé contre la falaise tout en gardant la position aérodynamique sur le vélo! Maya, ses frères et sœurs ne m'aiment pas et ça va finir par être réciproque. Bon je décide de poursuivre jusqu'à la maison. En espérant que la douleur n'empire pas. J'arriverai saint et sauf. Pour l'enchaînement course à pied, je décide de mettre la flèche et de traiter la blessure (!). Non seulement je suis sensible à ces "sales" bêtes mais en plus je gonfle comme une baudruche. Du style uppercut de Mike Tyson. Pas bo, pas de photo!
Fin de journée à la piscine. Je mets les lunettes noires à la Greta Garbo pour m'y rendre et enfile direct mes lunettes de nat... et le bonnet (incognito). Quasimodo n'aime pas qu'on le regarde! Question séance, ça démarre mal. L'entraîneur est absent, pas de programme à l'horizon et le Bronx dans les 2 lignes avec 30 nageurs de niveaux différents. Jamais vu autant de monde à l'eau, ça sent le début de saison. Ma motivation est au plus bas... Je tente de faire un échauffement, c'est galère mais ça passe. Ensuite je change de ligne et enquille une séance avec de bons appuis et du rythme. Heureux d'aller au bout de mes 4300. Il ne reste que 4 nageurs. La piscine (la nuit) est à nous!
Jour 5 : la motivation décline... pour cette ultime journée de sport avant le retour à la maison (que je n'ai pas quitté en fait). Au programme 2h de vélo avec le club et 1h de course à pied en bord de mer. Programme tenu, trop fort! Le temps est beurk, limite pluie en matinée. J'ai toujours le visage de Quasimodo. L’œil mi-clos et la joue qui commence à devenir bajoue. Font chier ces insectes. La sortie vélo sera rythmée par des accélérations dans les bosses et des bouts de droits avec un excité devant. La routine des sorties club du WE ! Au bout d'une heure je mets la flèche et retourne bosser tranquillou avec 4 associés. J'enchaîne par une heure superbe sur la plage et le sentier du douanier. Qlq changements d'allure viendront dissiper ma lenteur.
Bilan : ce stage était bien organisé, bravo. Je pense revenir ou ne pas partir l'année prochaine. Le temps était quasi idéal... enfin le vent m'a bien fait chmir. Heu, en fait l'année prochaine pour éviter les courses de bouffe de la smala, la lessive, la cuisine, la promenade du chien, les poubelles, le jardinage...(j'en oublie c'est sûr), je me barre à Lanzarote. Y parait qu'il fait beau (aussi), qu'il y a du vent (aussi), un bassin de 50 découvert (aussi), des parcours de dingues (aussi) et des entraînements vraiment chiadés (pas aussi).
Demain 80 km de VTT si le temps le permet pour conclure cette belle semaine! Ça va friser les 30h/semaine... vivement la quille.
Descente du Babaou tranquillou, le vent est un peu capricieux et je m’accroche à mon guidon. Et là dans un virage, je croise Maya l'abeille. Celle-ci a la bonne idée de se bloquer dans mon casque. Que faire ? 1- retirer le casque rapidement ou 2- attendre que Maya se barre butiner. Je choisis l'attente. Tuuuuuut, mauvais choix, Maya me pique et j'entame la solution 2 : je retire le casque. Elle est toujours là, en mauvaise état, pleine de pollen. Quant à moi, j'ai beau être matinal, j'ai mal (au front). Faut savoir que ce n'est pas ma première rencontre du genre avec les insectes volants. La dernière fois, je suis tombé dans les pommes, affalé contre la falaise tout en gardant la position aérodynamique sur le vélo! Maya, ses frères et sœurs ne m'aiment pas et ça va finir par être réciproque. Bon je décide de poursuivre jusqu'à la maison. En espérant que la douleur n'empire pas. J'arriverai saint et sauf. Pour l'enchaînement course à pied, je décide de mettre la flèche et de traiter la blessure (!). Non seulement je suis sensible à ces "sales" bêtes mais en plus je gonfle comme une baudruche. Du style uppercut de Mike Tyson. Pas bo, pas de photo!
Fin de journée à la piscine. Je mets les lunettes noires à la Greta Garbo pour m'y rendre et enfile direct mes lunettes de nat... et le bonnet (incognito). Quasimodo n'aime pas qu'on le regarde! Question séance, ça démarre mal. L'entraîneur est absent, pas de programme à l'horizon et le Bronx dans les 2 lignes avec 30 nageurs de niveaux différents. Jamais vu autant de monde à l'eau, ça sent le début de saison. Ma motivation est au plus bas... Je tente de faire un échauffement, c'est galère mais ça passe. Ensuite je change de ligne et enquille une séance avec de bons appuis et du rythme. Heureux d'aller au bout de mes 4300. Il ne reste que 4 nageurs. La piscine (la nuit) est à nous!
Jour 5 : la motivation décline... pour cette ultime journée de sport avant le retour à la maison (que je n'ai pas quitté en fait). Au programme 2h de vélo avec le club et 1h de course à pied en bord de mer. Programme tenu, trop fort! Le temps est beurk, limite pluie en matinée. J'ai toujours le visage de Quasimodo. L’œil mi-clos et la joue qui commence à devenir bajoue. Font chier ces insectes. La sortie vélo sera rythmée par des accélérations dans les bosses et des bouts de droits avec un excité devant. La routine des sorties club du WE ! Au bout d'une heure je mets la flèche et retourne bosser tranquillou avec 4 associés. J'enchaîne par une heure superbe sur la plage et le sentier du douanier. Qlq changements d'allure viendront dissiper ma lenteur.
Bilan : ce stage était bien organisé, bravo. Je pense revenir ou ne pas partir l'année prochaine. Le temps était quasi idéal... enfin le vent m'a bien fait chmir. Heu, en fait l'année prochaine pour éviter les courses de bouffe de la smala, la lessive, la cuisine, la promenade du chien, les poubelles, le jardinage...(j'en oublie c'est sûr), je me barre à Lanzarote. Y parait qu'il fait beau (aussi), qu'il y a du vent (aussi), un bassin de 50 découvert (aussi), des parcours de dingues (aussi) et des entraînements vraiment chiadés (pas aussi).
Demain 80 km de VTT si le temps le permet pour conclure cette belle semaine! Ça va friser les 30h/semaine... vivement la quille.
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