La course est est terminée, nous partons pour le paradis, le joyau des Philippines, l'île de Palawan. Rien n'est simple avec bibi. Dans ma jeunesse je me coltinais une planche à voile et accessoirement un surf. Ensuite période plus sobre avec un kite. Et ben vlà que je me trimballe mon vtt! Pas simple, le transport d'une valise contenant un vélo dans un coucou de 12 places...
Heureusement tout s'est bien passé, petite arnaque dans le car, mon vélo compte pour 2 personnes mais sinon... la routine. Et quelle routine, 8 h de car sur une route particulièrement défoncé pour atteindre le nid. El Nido, village au pied de falaises en bord d'océan face aux 100e d'îles toute plus belles les unes que les autres. Ouais ça le vaut, ouais c'est classe, ouais on a passé du bon temps à caboter d'île en île, manger le poisson au bbc on the beach, glander. Trop top une semaine à glander (ou presque).
Bon on est au paradis, d'accord mais comme toute médaille, il y a un revers. Et je vais le prendre dans la tronche le revers. Avec Dudu, ma douce et tendre femme, j'ai pour habitude d'aller voir si la plage d'après n'est pas plus belle que la plage d'avant. Je m'arrête rarement en fait. Là j'aurais peut-être dû. Et des îles, j'en ai fait mais j'en ai fait. Elle était belle la plage, personne dessus, une petite sieste, un petit bain et on rentre. On est rentré et le cauchemar a commencé. Mes nuits ne sont pas devenues plus belles que mes jours mais plutôt un cauchemar éveillé. Chaque nuit, je chassais le moustique, 70 piqures dans le dos, j'avais mon compte. Mais les moustiques n'y étaient pour rien. Des puces de sable m'ont démangé pendant plusieurs jours à me faire regretter d'être venu (au monde). Heureusement tout s'est bien terminé, les démangeaisons ont disparu et j'ai appris (après coup) qu'une crème mentholée aurait soulagé l'affaire...
Palawan se mérite mais c'est une pure merveille de la nature, Phi Phi island sans les touristes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire