Cette expression prononcée par un chercheur Américano-norvégien (Stefen Seiler) lors d'une intervention à l'INSEP illustre à merveille notre approche du sport et ce dogme selon lequel on ne progresse pas sans effort (sans souffrance).
Quelle connerie!
Sans se mettre dans le rouge (ou le orange), notre organisme est capable de modifications physiologiques très importantes. Capillarisation accrue, meilleure oxydation des graisses, modification cardiaque... Nous verrons cela en détails dans un article consacré au (pic) vert.
Vous allez me dire, des modifications tout aussi importantes apparaissent lors d'un entraînement au seuil. Certes, des effets positifs sont constatés (meilleur pouvoir tampon de l'organisme...) mais ceux-ci sont rapidement contre balancés par des effets négatifs très (trop) importants. Surtout si l'on abuse de ce type d'intensité (homéostasie perturbée, système nerveux autonome déstabilisé, fatigue accrue). Et il est facile d'abuser du (jus d') orange.
Et en se mettant dans le tout rouge ? là aussi, on progresse (fortement). Malheureusement on ne peut pas faire "ça" tous les jours. L'engagement mental et physique est trop important. Mais bien planifiées, ces séances à haute intensité rapportent gros. D'autant plus gros qu'elles se cumuleront aux séances en endurance (dans le vert...). Nous verrons cela... en détails, Nelson dans un autre autre post consacré au (gros) rouge!
La polarisation vert-rouge a du bon, à suivre...
NDLR : sauras-tu retrouver les jeux de mots vaseux de cet écrivain en devenir ?
La polarisation vert-rouge a du bon, à suivre...
NDLR : sauras-tu retrouver les jeux de mots vaseux de cet écrivain en devenir ?
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